Le Lâcher Prise....un drôle de mot
Dés que l'on parle d'Eveil à Soi, il est question de lâcher prise.
Au début ce mot revient à dire "se débarasser de" nos anciennes habitudes, de nos idées, de notre culture familiale, de notre religion, de nos conception de nous-mêmes, de nos souffrances et de notre histoire personnelle limitante.
Dans un deuxième temps, alors que l'on s'est déjà "débarasser" de beaucoup de choses, d'idées et de façons de faire, ce mot est utilisé dans un nouveau sens : "laisser faire". C'est-à-dire qu'après avoir décidé de ne plus tout collectionner, il nous est demander de ne plus chercher à tout contrôler.
C'est là qu'apparaissent toutes nos peurs de perdre et de gagner, d'être heureux ou malheureux, de vivre ou de mourir. Lâcher prise revient alors à "accepter" ce qui était soigneusement caché dans l'inconscient, le subconscient et les souvenirs refoulés. On laisse sortir des placarts tous les sombres secrets, les péchés imaginaires ou réels, les secrets de famille ou les cauchemars des fond de tiroirs.
Et puis, avec ce nouveau lâcher prise, viennent à naître de nouvelles façons de vivre, plus en transparence, plus en vulnérabilité et sensibilité....sans montre, sans agenda, sans dates, sans limites de temps ni d'espace, sans peurs d'être vu ou de ne pas être vu, sans besoin d'être aprouvé.
Alors, arrive une troisième compréhension de lâcher prise : laisser entrer.
Une fois que nous nous sommes vidés de ce que la société et notre propre orgueil a mis en nous, l'esprit est clair, le jugement lucide et tolérant, le coeur léger et simple....alors l'énergie divine veut entrer.
C'est alors l'heure de se faire tout petit, et de laisser entrer cette colossale force, qui humblement attend depuis la Nuit des Temps pour exister Ici et Maintenant dans toute sa splendeur. LILA
Au début ce mot revient à dire "se débarasser de" nos anciennes habitudes, de nos idées, de notre culture familiale, de notre religion, de nos conception de nous-mêmes, de nos souffrances et de notre histoire personnelle limitante.
Dans un deuxième temps, alors que l'on s'est déjà "débarasser" de beaucoup de choses, d'idées et de façons de faire, ce mot est utilisé dans un nouveau sens : "laisser faire". C'est-à-dire qu'après avoir décidé de ne plus tout collectionner, il nous est demander de ne plus chercher à tout contrôler.
C'est là qu'apparaissent toutes nos peurs de perdre et de gagner, d'être heureux ou malheureux, de vivre ou de mourir. Lâcher prise revient alors à "accepter" ce qui était soigneusement caché dans l'inconscient, le subconscient et les souvenirs refoulés. On laisse sortir des placarts tous les sombres secrets, les péchés imaginaires ou réels, les secrets de famille ou les cauchemars des fond de tiroirs.
Et puis, avec ce nouveau lâcher prise, viennent à naître de nouvelles façons de vivre, plus en transparence, plus en vulnérabilité et sensibilité....sans montre, sans agenda, sans dates, sans limites de temps ni d'espace, sans peurs d'être vu ou de ne pas être vu, sans besoin d'être aprouvé.
Alors, arrive une troisième compréhension de lâcher prise : laisser entrer.
Une fois que nous nous sommes vidés de ce que la société et notre propre orgueil a mis en nous, l'esprit est clair, le jugement lucide et tolérant, le coeur léger et simple....alors l'énergie divine veut entrer.
C'est alors l'heure de se faire tout petit, et de laisser entrer cette colossale force, qui humblement attend depuis la Nuit des Temps pour exister Ici et Maintenant dans toute sa splendeur. LILA