Intouchables
Nous sommes toujours l'intouchable de ceux qui se croient supèrieurs dans leur mode de vie.
Il est facile de critiquer certains pays où la conscience énergétique est développée et n'entreprend des relations qu'avec des égaux énergétiquement. Mais chacun fait du racisme énergétique avec ceux qui n'ont pas les mêmes codes que lui.
Par exemple, les gens des quartiers reconnaissent ceux qui ne sont pas issus de leur milieu, et ceux qui vivent dans les plus hautes strates ont eux aussi leurs codes pour créer des sous-groupes.
Le but est "d'appartenir" à une famille, à un mode de vie et de le revendiquer sous une forme ou une autre.
Sous la forme du vocabulaire, de la manière de prononcer les mots, de se vêtir ou de se rencontrer. Ce sont parfois des petits détails anodins qui vous remettent dans la case de l'intouchable. Une pensée trop libre ou trop stricte, un geste, une habitude.
Celui qui a l'apparence et les codes du milieu dans lequel il veut évoluer, sera bien accueilli, tandis que celui qui n'est pas en phase avec ces codes -riche ou pauvre- il sera rejeté. L'être humain est d'abord un animal énergétique qui reniffle chez l'autre, d'un seul coup d'oeil, le potentiel de compatibilité avec le milieu.
Accepter les gens ou pas sur les apparences énergétiques ne prend pas en compte la capacité innée d'adaptation et de flexibilité dont les individus sont capables. C'est également nier la capacité d'empathie, qui est une preuve d'intelligence et d'ouverture.
Est-ce à dire qu'il faut accepter "tout le monde", non.
Il faut écouter son ressenti et vérifier si la personne que l'on rencontre est positive ou non pour notre vie. Mais ce ressenti ne doit pas se baser sur la forme des chaussures ou la longueur des cheveux! Et encore moins sur la marque du vétement.
Il existe des gens riches de coeur et des gens pauvres en créativité en en idéaux dans tout les milieux, s'en tenir aux étiquettes, c'est passer à côté de l'essentiel et du véritable échange. Lila
Il est facile de critiquer certains pays où la conscience énergétique est développée et n'entreprend des relations qu'avec des égaux énergétiquement. Mais chacun fait du racisme énergétique avec ceux qui n'ont pas les mêmes codes que lui.
Par exemple, les gens des quartiers reconnaissent ceux qui ne sont pas issus de leur milieu, et ceux qui vivent dans les plus hautes strates ont eux aussi leurs codes pour créer des sous-groupes.
Le but est "d'appartenir" à une famille, à un mode de vie et de le revendiquer sous une forme ou une autre.
Sous la forme du vocabulaire, de la manière de prononcer les mots, de se vêtir ou de se rencontrer. Ce sont parfois des petits détails anodins qui vous remettent dans la case de l'intouchable. Une pensée trop libre ou trop stricte, un geste, une habitude.
Celui qui a l'apparence et les codes du milieu dans lequel il veut évoluer, sera bien accueilli, tandis que celui qui n'est pas en phase avec ces codes -riche ou pauvre- il sera rejeté. L'être humain est d'abord un animal énergétique qui reniffle chez l'autre, d'un seul coup d'oeil, le potentiel de compatibilité avec le milieu.
Accepter les gens ou pas sur les apparences énergétiques ne prend pas en compte la capacité innée d'adaptation et de flexibilité dont les individus sont capables. C'est également nier la capacité d'empathie, qui est une preuve d'intelligence et d'ouverture.
Est-ce à dire qu'il faut accepter "tout le monde", non.
Il faut écouter son ressenti et vérifier si la personne que l'on rencontre est positive ou non pour notre vie. Mais ce ressenti ne doit pas se baser sur la forme des chaussures ou la longueur des cheveux! Et encore moins sur la marque du vétement.
Il existe des gens riches de coeur et des gens pauvres en créativité en en idéaux dans tout les milieux, s'en tenir aux étiquettes, c'est passer à côté de l'essentiel et du véritable échange. Lila