La Conscience et l’évolution de la vie : une vision de l’Unité

Publié le par lila

 

 

L’Acide désoxyribonucléique (adn) est étudié par les sciences mais ne leur appartient pas, il existe en dehors d’elles  et fut créé par «quelque chose d’autre ».

En simplifiant à l’extrême on peut utiliser cette image : l’Adn est un assemblage chimique né de la lumière. Evidemment, c’est raccourcir magistralement l’évolution qui s’est  produite par bonds successifs de complexification, avec des étapes assez longues d’intégration puis de développement des codes organiques, sachant que le temps d’incubation permet l’élaboration des stades de maturation intérieurs  nécessaires pour passer d’un niveau simple à un niveau complexe. La vie terrestre est donc un code d’acides aminés singulier devenu une cellule simple, qui s’est reproduite de manière autonome puis a créée des ensembles de cellules de plus en plus complexes dont chaque espèce est une combinaison et chaque individu une clé particulière. Un même fil de composants et des milliers de combinaisons de codes forment ce que nous percevons comme des paysages, des éléments naturels, des végétaux, des animaux ou des personnes avec leurs particularités physiques. Chacun est un écosystéme miniature contenant de nouvelles vies intérieures. 

Quelques -uns appellent ce résultat de codes matérialisés la « Matrice ».

Le Temps est un outil de mesure et de perception permettant à la conscience  humaine d’évaluer sa place dans l’évolution globale de la vie. Sans l’échelle du temps il semble que nous sommes perdus au milieu de rien de définissable puisque toute chose est constamment en mouvement : nommer le mouvement en le rythmant, nous permet de l’accompagner et même d’imaginer le dompter. Pourtant l’évolution n’a pas besoin des échelles humaines, elle continue d’élaborer ses chimies indépendamment que nous aimions le résultat : nous sommes tour à tour le cobaye, le témoin et l’agent évolutif.

L’Adn se présente -pour l’instant –  sous la forme d’une échelle en forme de double ellipse  dont chaque degré est une séquence codée et, en mettant en évidence des gènes marqueurs connus, on peut remonter jusqu’ à l’apparition des différentes sortes de vies nées sur la planète. En fait, une espèce est un séquençage de codes qui ressemble à un arbre avec une racine  -son apparition-  jusqu’à sa dernière expression -son fruit.  En tant qu’espèce humaine nous faisons partie d’un unique arbre qui possède plusieurs bifurcations, ce que nous appelons notre famille n’est en fait, qu’un clonage de particularités plus fines.  

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Un arbre est le représentant de son espèce, on ne lui donne pas de nom en tant qu’individu mais nous sommes persuadés d’avoir une importance en tant qu’individu, au sein de notre famille, et certains d’entre nous considèrent qu’ils sont importants pour la société. Or, pour l’Esprit de la vie nous ne sommes qu’un segment de l’Adn humain et nous devenons remarquable seulement à la condition d’entraîner un changement de marqueurs, un « embranchement » différent de combinaisons. Ce que nous appelons « moi » et qui nous différencie des autres, n’est en fait que notre imagination et l’interprétation personnelle que nous mettons en nous-mêmes, ce n’est que la force de conviction mentale qui nous différencie les uns des autres : nous nous pensons différents les uns des autres, parce que nous donnons de la valeur à ce que nous possédons matériellement ou moralement. En aucun cas, une force extérieure définit  des différences : c’est notre décision personnelle de nous différencier qui nous divise. C’est à partir du principe de l’individu que nous  projetons nos comportements dans le monde, ce qui  explique le monde dans lequel nous vivons et la manière dont nous en faisons l’expérience.

Notre organe essentiel est donc notre cerveau, c’est grâce à lui que nous imaginons le monde et notre place mais c’est la conscience qui lui sert de pilote. Or le cerveau est influencé par de nombreuses choses naturelles ou intellectuelles et rien n'est fait pour éveiller la conscience individuelle. On pourrait même dire que la conscience est un problème et qu'il faut essayer de la rendre moins active.  L'habitude de s'enterrer vivants pour vivre en sécurité est un étrange moyen d'utiliser le cerveau lorsque l'on sait qu'il réagit également aux variations de la lumière et de l’ensoleillement. Un des marqueurs de cette relation entre la lumière et l’humain est la vitamine D, dont nous savons qu’elle a un impact sur la fixation du calcium dans les os (structure des os) mais il est clair qu’elle a également un impact sur la résistance morale et psychologique de notre mental  à cause de l'impact sur les ondes électriques cérébrales. Notre cerveau ne fonctionne pas de la même façon lorsque nous sommes en bonne vitalité, avec une  confiance en soi musculaire et sociale pleine, ou lorsque nous sommes malades et dans l’incertitude. Le changement de rythme des ondes détermine notre état de confiance intérieure et notre humeur, donc nos relations avec les autres. Une bonne respiration et la capacité d’autonomie musculaire sont essentiels pour maintenir un bon rythme biologique et l’ensoleillement  joue un rôle essentiel dans la résistance physique et la vitalité. Lorsque les sociétés s’enterrent  et se privent de lumière solaire vivante,  les maladies se complexifient et la résistance psychologique baisse. L’espoir et la joie de vivre sont stimulés par l’ensoleillement ; la vitalité dépend de la ressource à capitaliser l’énergie solaire.

Naturellement, chaque écosystème produit une harmonie cohérente entre les organismes, eux-mêmes pourvus de microflores ou microfaunes, donc de niveaux intérieurs de vie. Cet équilibre prospère jusqu’au moment où cette harmonie atteint son apogée, ce qui contraint les organismes qui le composent à rechercher une nouvelle forme d’organisation. Cela s’applique à l’ensemble des organismes vivants ainsi qu’à chaque niveau de complexification. L’augmentation de la complexité  d’un être s’exprime d’abord par un chaos apparent pour passer d’un niveau de structuration à un autre, il y a des étapes intermédiaires,  une « transition »  qui consiste  à épaissir les structures portantes ou au contraire à les rendre plus flexibles, pour engendrer des combinaisons d’intelligences plus performantes et spécialisées. Ce schéma simple se retrouve dans les façons de développer la vie, y compris dans nos mégapoles qui n’étaient au début que de simples habitations posées entre les arbres. Le Principe de compléxification reste le même lorsqu'il s'agit de nos créations mentales comme l'Europe.

En tant qu’individu nous percevons le monde depuis l’angle de la diversité en cherchant à retrouver la connexion avec l’œil de l’Unité, alors que d’un point de vue divin, l’arbre du monde est une longue séquence unique d’expériences reliées à Son centre. Ce centre d’où émane la lumière, est un cerveau/ cœur qui vibre en une foule de mouvements tournoyants si rapidement que la lumière -lorsqu’on y pénètre- semble statique ou très lente donc que nous interprétons comme « éternelle ». Ce centre magnétique d’où naît la Conscience existe mais ne s’auto-conçoit pas : il se perçoit lui-même comme vide jusqu’à ce qu’Il reçoive une vibration  que sa conscience ressent comme une extension de sa propre existence, cela Le rend « réel ». Dans ce cadre de perception unique et centré, nous sommes les capteurs minuscules de Ses « sens ». Les mondes du visible sont tissés par la lumière et les mondes de l’Invisible  sont faits de vides ressentis comme des zones pleines de grâce et de possibilités à venir. En passant d’une énergie à l’autre, les particules conscientes ressentent leur gravité et leur fonction. Apparaître dans un courant de lumière  revient à prendre une existence dans une certaine strate de densité lumineuse, un « rayon de lumière ». Cela sert à expérimenter un certain type de conscience et mourir consiste à repasser dans l’Impersonnel pour y recevoir d’autres attributs, pour développer de nouveaux potentiels. http://consciencecosmique.e-monsite.com/medias/images/elevation-1.jpg?fx=r_550_550

Nous pouvons définir l'énergie cosmique comme un courant  évolutif qui retranche ou rajoute des informations suivant les pulsations de Lumière qui La font vibrer : à l’image d’un soleil qui émane des milliards de photons et d’autres microparticules électromagnétiques. Nous captons et interprétons le monde selon nos moyens d’exprimer la conscience qui n'est qu'à l'état embryonnaire dans notre espèce. Chaque type d’énergie  crée des mondes avec des particularités et des futurs à développer : nous sommes nés de la vie, Elle nous porte autant qu’on l’Imagine possible, autant qu’on Lui en donne la possibilité, mais pas toujours sous la même forme. Actuellement, la société planétaire commence à envisager la relation entre l’homme, la planète et le soleil sous un angle commercial.  Nous avons faits du commerce avec les éléments naturels, les êtres et les organes humains. Nous payons pour la terre, pour l’eau et l’air, on achète des semences ou des embryons, on  loue des ventres et des heures de soleil en boîte (séances UV), des séjours sur les rivieras… Faudra-t-il  payer pour la lumière du soleil?

Faudra-t-il payer pour avoir éveillé sa Conscience ? Lila

Publié dans Messager de lumière

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U
All the efforts you put in the blog post is appreciable.i am impressed with the blog and want to thank you for writing this blog..keep it up
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C
<br /> Rendre grace à notre Terre Urantia Gaia, et à tout l'Univers. Merci Lila<br /> <br /> <br />  <br />
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N
<br /> Aimer rend immensément riche... heureusement :)<br />
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P
<br /> Bonjour Lila,<br /> <br /> <br /> Un chanteur français très connu a fait une chanson sur la persécution.<br /> <br /> <br /> Sa chanson s'appelait "ma liberté de pensée".....<br /> <br /> <br /> A quand une chanson sur la liberté de Conscience???<br /> <br /> <br /> Je vous aime, Philippe<br />
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