L’Energie du Père
Suite aux messages reçus hier, j’étais troublée par l’immanence et la force du message et par la responsabilité de transmettre un avertissement trop durement.
Alors, j'ai cherché la source première de l'énergie que j'avais reçue. Je me suis retrouvée à un moment de mon enfance durant lequel j’avais vu ce qui se produit aujourd ‘hui : à cette époque le monde n’était pas si dur, et ma perception était plus confiante en la perfection des choix de Dieu.
L’énergie rattachée à ces souvenirs montrait que la destruction
des faiblesses humaines se produisaient par un ajout d’énergie douces, tellement douces qu’elles imprégnaient tout : l’air devenait paradisiaque pendant quelques semaines, et cela rendait
impossible toute discipline, tout respect des horaires, toute envie de travailler. Une torpeur agréable imprégnait l’air, redonnait vie à nos états d’âmes légers, rendait possible l’espoir même
chez les gens apathiques.
Durant ces quelques semaines tout était suspendu, agréable et serein.
Puis ces énergies se retiraient progressivement absorbées par l’environnement.
Alors une autre ambiance, de manque, de crises de nerfs, de brutalités à cause de l’absence de cet amour, de cette belle énergie prenait place : un réveil à soi.
Parallèlement, de nouvelles idées, des résultats dans les recherches médicales ou techniques, de nouveaux rythme de travail, de nouvelles stratégies d’enseignement, de diffusion des connaissances et une plus grande acceptation de la spiritualité intuitive s’installerait.
Des prises de conscience sur l’inutilité des blessures du passé, sur l’inutilité de certains codes discriminatoires s’imposeraient d’eux-mêmes.
Les gens se rapprocheraient de leur profond besoin, de leur famille de cœur sans crainte ni jugement.
Ces changements se faisaient sur toute la planète, et ravivaient les âmes et il était facile de voir ceux qui n’en avaient plus, ceux qui possédaient une âme abîmée, et ceux qui l’avaient nourrie avec soin.
Ceux dont l’âme avait atteint un haut degré de conscience recevaient de nouvelles fonctions.
Chacun trouvait sa place.
Lila